Ce que l’on appelle communément un « don », une « capacité extra-sensorielle » ou encore une « aptitude surnaturelle » désigne en réalité une « capacité akashique » (autrement dit, une faculté développée par notre âme lorsqu’elle devient apte à le faire). Je m’arrête là pour le cours sur les Arch-sciences, pour en revenir au sujet : faut-il lutter contre nos dons ?

Je pense que beaucoup de personnes au sein de notre communauté, ou même totalement anonymes, ont eu à se poser la question, ou alors ont dû faire face au développement d’un don sans y être préparé. Avant de formuler une réelle réponse, il faut comprendre les choses. Et pour cela, il me faut vous parler un peu plus en détail des Arch-Sciences.

Pour faire simple, l’âme évolue suivant 2 arcs, qui, par analogie, correspondent en arithmancie aux maîtres-nombres 11 et 22 (Non, non et NON, le 33 n’est PAS ENCORE accessible par l’âme humaine, bien qu’il soit connu. Il n’y aurait qu’une seule personne ayant eu les capacités akashiques pour prétendre l’intégrer, et son nom est Merlin l’Enchanteur, autrement dit, il n’y a pas de preuves tangibles sur le sujet, d’autant plus si l’on tient compte de la période où il est supposé avoir existé, période où le Maître-nombre 22 n’était pas accessible à l’instar du 33 à notre époque).

Donc, à chaque fois qu’une âme s’éveille suffisamment pour changer d’arc d’évolution, elle devient assez réceptive pour développer une capacité akashique. Evidemment, les capacités du premier arc sont relativement courantes tandis que celles du second arc sont rares. J’attire également votre attention sur le fait qu’actuellement, l’âme humaine approche grandement du 3ème arc (et donc du Maître-nombre 33 et par conséquent, de nouvelles facultés encore inconnues à notre époque…).

 

Alors, concrètement, comment tout cela fonctionne ? C’est très simple en fait. Hors cas exceptionnel (une âme imperméable aux dons, un esprit surdominant ou encore le recours à un vampyre énergétique particulièrement efficace), dès qu’une âme est apte à recevoir un nouveau don, elle le reçoit même si vous n’en voulez pas. A savoir que l’acquisition d’un nouveau don est PROGRAMMÉE : c’est lors de la réincarnation qu’un don nous est octroyé. Toutefois, celui-ci ne se manifeste pas tout de suite : il peut se passer 10, 20, 30, 40, voire 50 ans avant que le don ne s’exprime. Bien souvent, un enfant dont l’âme a reçu un nouveau don développe des capacités extra-sensorielles lors de ses 3 premières années, avant qu’elles ne soient mises en sommeil pour au final s’exprimer de nouveau quelques années plus tard.

Maintenant, on en vient à la manifestation physique et sensorielle du don en question. Là encore, c’est on ne peut plus simple : cela découle simplement de la relation corps-âme-esprit. Dès l’instant où l’âme manifeste un don, elle le transmet à l’esprit et au corps, ce qui permet au don de s’exprimer convenablement et de remplir pleinement ses fonctions.

 

Voilà donc pour le fonctionnement général, de manière résumée évidemment. Nous en venons donc à la question de base : faut-il lutter contre nos dons ? Et donc, pour reformuler plus clairement : devons-nous résister et occulter une capacité akashique lorsqu’elle se manifeste ? Avons-nous réellement le choix ?

Outre les moyens contre-nature, il n’est pas réellement possible de supprimer un don nouvellement acquis, ce qui est parfois considéré comme une malédiction. Donc, lorsque notre âme est apte à se développer, elle le fait. N’oubliez pas que l’âme est la seule à perdurer après la mort, le corps et l’esprit sont quant à eux libérés et lors de la réincarnation, l’âme investit un nouveau corps et se lie à un nouvel esprit.

De ce fait, refuser un don, lutter contre lui ou tenter de l’empêcher de s’exprimer est pire que de l’accepter pleinement. Cette lutte entraîne un conflit important entre notre âme et notre esprit, chacun voulant imposer son point de vue, et c’est par conséquent notre corps qui en subit les conséquences. Qui plus est, plus nous refusons un don, plus notre âme se montrera insistante pour nous l’imposer de force. Au final, nous en serons gravement atteints de manière physique et mentale. Un don ne se déclare que si nous sommes capables de le supporter, alors lutter pour le refuser est superflu et inutile. Malheureusement, je suis le premier concerné et je sais que certains dons sont très douloureux…

 

Bien sûr, je tiens toutefois à nuancer : je m’adresse ici et avant tout aux personnes ayant de VÉRITABLES dons, et non à ceux et celles qui prétendent avoir tous les dons possibles et les maîtriser sans difficulté. Pour rappel, l’empathie, la vraie empathie akashique est une capacité de fin du deuxième arc d’évolution de l’âme, autrement dit, c’est un don extrêmement rare  !!! Empathie et parapsychologie sont deux choses totalement différentes, on ne le dira jamais assez.

 

Pour conclure, voici mon conseil à toute personne en éveil : soyez à l’écoute de votre âme, car c’est elle la patronne. Suivez-la aveuglément, et ne cherchez pas à lutter contre un don en éveil. Même si cela vous fait peur ou vous paraît douloureux, sachez que lutter et le repousser sera bien pire que ça. Acceptez-le, apprenez à le comprendre. Et surtout, prenez conscience qu’un don est une faveur, et non un outil. Un don est un apprentissage permanent. Pour vulgariser de manière très crue : vous êtes l’esclave de votre don, et non l’inverse. Gardez bien cela en tête : vous pouvez choisir de travailler avec et accepter le don, ou tenter de le nier. Mais dans tous les cas, vous n’aurez jamais le plein contrôle. Pour faire simple et précis :

 

Ne luttez pas contre un don en éveil. Acceptez-le. Analysez-le, comprenez-le. Souffrez pour lui si c’est nécessaire. Un don est un privilège, pas une malédiction. C’est en luttant contre lui que vous le rendez destructeur….